Lundi 5 juin 2023 à 18h00


Entre raison et déraison, l’enfermement au masculin dans Tombeza de Rachid Mimouni et Zabor ou les psaumes de Kamel Daoud

 

Souad Ait Dahmane


Mardi 23 mai 2023 à 18h00


Histoires d'îles : Les intellectuels antillais et l'Algérie

Mourad Yelles

 


18 et 25 mai & 1 et 8 juin 2023 à 18h00

 

Cycle de conférences sur la préhistoire (avec des chercheurs du CNRPAH)

 

L’Algérie préhistorique, nouvelles recherches et nouvelles interprétations

 

Résumé :

Depuis ces deux dernières décennies, les recherches en archéologie préhistorique ont connues un essor significatif ayant permis de renouveler nos connaissances et d’établir de nouvelles interprétations sur les communautés préhistoriques et protohistoriques, leurs modes de vie et leurs capacités cognitives. Cette « Pré » histoire de l’Algérie qui débute, il y’ a déjà 2,4 millions d’années, ne cessera de connaître des changements et des transformations culturels et comportementaux, dont les principaux marqueurs seront dévoilés et présentés au cours de ce cycle de conférences sur l’Algérie préhistorique, présenté par des chercheurs Algériens du Centre National de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques (Alger)

 

Programme :

 

Auteur

Titre

Date

01

Razika CHELLI CHEHEB

 

 

Début de la culture matérielle en Algérie, origine et évolution

18 mai 2023

02

Louiza AOUDIA

 

 

Un implant dentaire, un masque humain et des funérailles aux temps préhistoriques : Pour un décryptage de l’implant dentaire de Faïd Souar II (Oum El Bouaghi, Est Algérie) par le moyen de l’étude des archives de fouille et des restes humain

 

25 mai 2023

03

Souhila MERZOUG

 

 

Du chasseur à l’éleveur : aux origines de la domestication animale en Algérie préhistorique

1 juin 2023

04

Smail IDDIR

 

 

Les monuments funéraires préhistoriques et protohistoriques de l’Algérie : typologie et répartition géographique.

8 juin 2023

 

18 mai 2023 à 18h00 : Dr. Razika CHELLI CHEHEB

 

Début de la culture matérielle en Algérie, origine et évolution

 

Résumé :

Les scientifiques ont longtemps cru que les premiers hominidés et leur culture matérielle prove­naient du Rift Est Africain. Cependant, les nouvelles découvertes en Algérie, à Aïn Boucherit (Sétif), changent quelque peu notre perception de la chronologie et de la diffusion de la première technologie en pierre à travers l’Afrique et l’Europe. Les recherches pluridisciplinaires conduites dans ce site ont permis d’apporter de pertinents éléments de réponses aux questionnements liés aux premiers habitants d’Algérie, notamment les premiers outils en pierre qu’ils utilisèrent, le climat, l’environnement et leur interaction avec le couvert végétale et faunistique, et leur régime alimentaire. Notre présentation s’attellera à faire connaitre au grand publique dans son ensemble les débuts de l’histoire de la culture matérielle de notre pays.

 

25 mai 2023 à 18h00 : Dr. Louiza AOUDIA

Un implant dentaire, un masque humain et des funérailles aux temps préhistoriques : Pour un décryptage de l’implant dentaire de Faïd Souar II (Oum El Bouaghi, Est Algérie) par le moyen de l’étude des archives de fouille et des restes humain

 

Résumé :

Ce crâne de faïd Souar, attribué à la culture capsienne (10000 et 7500 cal BP), a fait l’objet de modifications impressionnantes qui lui ont valu la dénomination de « masque ou crâne trophée ». Mais ce qu’il présente de plus spectaculaire est sans nul doute le fait qu’il porte le plus vieil implant dentaire de l’histoire de l’humanité. L’histoire post-mortem de la tête humaine à l’origine de ce « masque » est des plus complexes. Des chasseurs-cueilleurs épipaléolithiques ont ainsi prélevé une tête sur un cadavre, pour la transformer via une série de modifications techniques, impliquant comme étape finale un surmodelage de la face. Une fois cette première étape de modification achevée, le « masque » fut redéposé dans une sépulture contenant une partie du corps du défunt.

 

01 juin 2023 à 18h00 : Dr. Souhila MERZOUG

 

Du chasseur à l’éleveur : aux origines de la domestication animale en Algérie préhistorique.

 

Résumé :

La domestication animale est l’une des étapes majeures de l’évolution des comportements humains du fait que ce processus marque le passage d’une économie basée sur la prédation vers une économie de production. Pour les chercheurs préhistoriens, l’avènement de ce processus en Algérie, ainsi que la mise en place des systèmes de production et du mode de vie pastoral, constituent l’une des problématiques phares de la Préhistoire algérienne. Au cours de cette conférence, nous exposerons les résultats des nouvelles recherches ayant contribuées à mieux documenter l’apparition des marqueurs de la domestication.

 

08 juin 2023 à 18h00 : Dr. Smail IDDIR

 

Les monuments funéraires préhistoriques et historiques de l’Algérie : typologie, répartition géographique.

 

Résumé :

Les monuments funéraires de l’Afrique du Nord en général et de l’Algérie en particulier sont nombreux et variés. Leur distribution géographique est inégale et montre des territoires appropriés. Certains ont une large diffusion et d’autres sont circonscrits. Ces architectures montrent de nouvelles coutumes funéraires avec l’inhumation des morts en dehors des habitats témoignant ainsi de la séparation entre le monde des morts et celui des vivants. L’étude de ces monuments funéraires nécessite des outils et une méthodologie pour pouvoir les définir, les situer dans le temps, les répertorier et les classifier.

 

 


Mercredi 17 et jeudi 18 mai 2023


Rencontre avec le peintre Aïssa Boudechiche

 

Mercredi 17 mai 2023

10h00 à 16h00 : Exposition et démonstration de techniques de peintures

18h00 : Conférence sur les artistes peintres de la région de Laghouat et leurs devanciers

 

 Jeudi 18 mai 2023

10h00 à 16h00 : Exposition et démonstration de techniques de peintures

 

Aïssa Boudechiche est un artiste autodidacte, né à Constantine. Il a grandi dans la wilaya de Laghouat où il a fait ses premiers pas dans le monde de l’art. Il a commencé à peindre en 2008. Il a participé à plusieurs salons régionaux, nationaux et internationaux. Il a exposé en France, en Tunisie et dans plusieurs structures culturelles en Algérie. Il a participé au festival Raconte-Arts. Il utilise différentes techniques pour peindre. Sa philosophie artistique est : Le soleil c’est les couleurs, puis la forme, afin de préserver notre patrimoine.

 

A travers son regard d’artiste, Aïssa Boudechiche nous fait visiter le soleil et les couleurs de Laghouat. Il nous fait un aperçu sur des lieux touristiques qui sont une des sources d’inspiration pour nombres d’artistiques de la région. Il nous fait voir aussi des artistiques étrangers qui ont marqué la région de Laghouat. Il nous présente enfin ses maitres artistiques et leurs philosophies.


Jeudi 11 mai 2023 à 18h00


Les bienfaits de la musique sur la santé

 

Mouloud Ounnoughene

    

Suivie d’une vente dédicace de son dernier livre « La musique autrement, de la note à la thérapie »

 

DOC' MUSIC !

 

Par Belkacem Ahcene-Djaballah

 

* La musique autrement. De la note à la thérapie. Essai du Dr Mouloud Ounnoughene. Editions Dar Khettab, Alger 2022, 143 pages, 750 dinars

 

Dans cet ouvrage, l'auteur doublement spécialiste (médecin et musicien) ne se suffit pas ou ne se limite pas aux connaissances générales pour aborder la chose musicale, tentant (et réussissant) à nous la présenter dans sa dimension scientifique. Sous toutes ses coutures... techniques et sensitives. De tous horizons et de tous temps. De ce fait, il convoque de très grands noms de la pensée : Nietzsche, Richard Brown (médecin), Platon et Pythagore, Avicenne, la chanteuse Azzat el Maalia (décédée en 733), le poète Omar Ibn Abderrahmane, l'Empereur indien Bharata, le moine italien Guy d'Arezzo, Al Maïmoun, Ishaq el Mawsili, Al Kindi, Al Farabi, l'historien romain Dion Cassius, Debussy, Théodore Reinach, Ahmed Tifachi de Gafsa, Thomas Shaw, El Ouancharissi, Ziryab et d'autres et d'autres.

 

La conclusion de l'auteur est claire et sans appel : «La musique est douée d'une puissance immanente. En effet, elle présente une compétence cognitive qui mobilise plusieurs régions de notre cerveau. L'écoute et la pratique musicales sont susceptibles de «remodeler» le cerveau en créant de nouvelles connexions nerveuses et en modifiant ainsi la structure et la fonction du cortex». Elle est aussi porteuse de beaucoup d'espoirs en les améliorations des capacités intellectuelles de celles et ceux qui l'écoutent, l'apprécient et ou la pratiquent. D'autant qu'il n'est jamais trop tard pour apprendre, apprécier ou découvrir la passion de la musique. Avis aux concernés et intéressés ! Sans limites d'âge. Et, avec la floraison des écoles et d'associations de musique, tout est (encore) possible.

 

L'Auteur : Docteur en médecine, neurochirurgien, musicien, ancien producteur et animateur d'émissions radiophoniques sur les musiques du monde. Ayant produit (avec son groupe Massin's) un album de fusions musicales. Passionné par les effets de la musique sur les cerveaux. Déjà auteur d'un ouvrage sur les «Influences de la musique sur le comportement humain» et spécialiste de l'œuvre d'Iguerbouchène.

 

Extraits : «Les instruments à vent ont une grande symbolique, c'est le souffle de la vie, ce qui sort de soi, l'allusion est faite précisément au ney, qui représente par excellence l'instrument des soufis» (p 30), «Par sa robustesse neuronale, la musique déconstruit, remue, étire et provoque un remodelage cérébral inimaginable» (p 35), «Dès le neuvième siècle, les Arabes possédaient des unités hospitalières où l'on distillait de la musique afin d'apaiser les conflits psychiques inhérents aux maladies mentales» (p62), «La musique est un espéranto d'émotions qui agit comme un révélateur de nos états d'âme enfouis» (p 129).

 

Avis : Un livre qui n'est pas seulement destiné aux «fous» de musique, aux musicologues et aux spécialistes qui doivent et/ou veulent se servir de la musique pour susciter des vocations, encourager les volontés ou pour guérir leurs patients... mais aussi et surtout, je crois, à toutes celles et tous ceux qui veulent découvrir (ou tout simplement comprendre) le monde des «sens» à travers et grâce à la musique. Pas facile à lire mais d'une lecture très utile, entre autres, aux parents.

 

Citations : «Sans la musique, la vie serait une erreur» (Nietzsche cité, p 7), «Viendra-t-il le jour où à chaque fêlure de notre âme, nous prescririons une harmonie musicale, du genre pharmacopée» (p 15), «En définitive, la musique participe à l'expression globale de l'être humain et s'avère être un révélateur d'émotions enfouies» (p 30), «La perfection des arts théoriques et pratiques est l'un des sens de la sagesse» (p 64), «La musique a toujours accompagné et rythmé le labeur de l'homme, elle crée une dynamique impulsive et répétitive qui facilite le mouvement «(p 75), «La musique est une révélation plus haute que toute sagesse et toute philosophie» (Beethoven cité p 129).

 

 

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5320489#:~:text=pas%20ou%20ne-,se,-limite%20pas%20aux

 

https://www.lesoirdalgerie.com/tendances/mouloud-ounoughene-de-la-musique-a-la-medecine-76368

 

https://www.horizons.dz/dr-mouloud-ounnoughene-neurochirurgien-ancien-professeur-de-piano-la-musique-embaume-les-felures-de-lame/

 

https://www.lexpressiondz.com/culture/le-dr-ounnoughene-en-conference-ce-jeudi-364179

 

https://www.jeune-independant.net/tizi-ouzou-debat-autour-de-la-musicotherapie/


Lundi 20 mars 2023 à 18h00


Rencontre autour de l’œuvre artistique de J-J. Deluz

Courts-métrages, tableaux, objets

 

Karim Boukhenfouf, architecte

Mourad Bouzar, historien de l’art

 

    

 

L’exposition « Deluz. L’œuvre d’une vie » est une occasion unique de découvrir une dimension méconnue du plus algérien des architectes suisses. Pour la seconde fois en Algérie, sont rassemblés les gouaches, les estampes et les films d’animation que Jean-Jacques Deluz (1930-2009) réalise à Alger entre 1957 et 2009, parallèlement à ses activités d’architecte et d’enseignant.

 

À travers plus d’une trentaine d’œuvres, l’exposition propose une plongée dans l’imaginaire d’un artiste demeuré volontairement dans l’ombre de l’architecte. Deux aspects essentiels semblent caractériser un œuvre plastique ambivalent : le premier, évident, correspond au courant surréaliste dans lequel la production artistique de l’architecte s’inscrit par la picturalité́ autant que par le processus. Le second, sous-jacent, secret même, mais clair pour qui sait voir, renvoie immanquablement à son parcours professionnel et de vie. Si le premier aspect est immanent et nous ramène aux premières influences lausannoises et parisiennes, le second est transcendant et nous transporte dans le moi profond de l’artiste, être sensible et torturé, confronté à la réalité́. Soulignant cette dualité, l’acte de création picturale chez Deluz semble détaché de la puissance objective et synthétique de l’architecture et viserait plutôt à encourager l’imagination dans un rapport tendu entre le rêve et la réalité. L’exposition invite ainsi à sillonner cet univers onirique à la recherche de passerelles s’étendant dans la réalité d’un parcours d’architecte en situation d’exil ; tout particulièrement pour celles et ceux qui l’ont connu ou qui l’ont lu.

 

Mourad Bouzar

Docteur en Histoire de l’art

Commissaire de l’exposition


 

Samedi 18 mars 2023 à 16h00

 

Claude Bouiller: une femme d’exception au service des algériennes :
De l’Ashram de Bou-Sâada à la maison des étudiantes d’Alger

 

Barkahoum Ferhati (anthropologue)

 

 

    

 


 

Mardi 14 mars 2023 à 18h00


Récupérer et Recadrer les musées algériens pendant les années postindépendance

Caroline Angle Maguire

 

    

 


Samedi 4 mars 2023 à 16h00

Présentation d’ouvrage « L’Église et les chrétiens dans l’Algérie indépendante. Études et Témoignages » Jean-Robert Henry et Abderrahmane Moussaoui Karthala, 2020, 490 pages.

 

Barkahoum Ferhati (anthropologue)

Abderrahmane Moussaoui (anthropologue)

 

Une équipe composée de chercheurs algériens et français ainsi que d’acteurs religieux analyse l’histoire de l’Église dans l’Algérie indépendante, en privilégiant les dimensions humaines et intellectuelles – voire spirituelles – du processus de sortie de guerre et de reconstruction de la paix. L’Église d’Algérie est un des lieux où ce processus s’est joué depuis soixante ans, dans des circonstances parfois dramatiques. Ont été rencontrés à l’occasion de cette recherche des dizaines de femmes et hommes, religieux ou laïcs, qui ont accepté de témoigner sur l’action accomplie en Algérie au sein de l’Église. Placés face aux mêmes défis, ils sont représentatifs d’une génération plus sensible à la présence, à la rencontre et au dialogue qu’au prosélytisme. Le corpus considérable d’entretiens recueillis constitue le socle d’une recherche d’histoire orale à laquelle la seconde partie de l’ouvrage « Voix et voies » est entièrement consacrée. La première partie dresse le cadre. Elle comporte une série d’études et de documents sur l’Église algérienne contemporaine : son inscription dans une histoire, ses évolutions doctrinales, son action culturelle, son action scolaire jusqu’à la nationalisation de 1976, son rayonnement international, le rapport à l’État algérien. La troisième partie est centrée sur des « Figures » : celles de trois évêques décédés, celles de protestants qui ont travaillé étroitement avec l’Église, et enfin celles des religieuses et religieux que leur assassinat dans les années 1990 puis leur béatification en décembre 2018 à Oran ont fait sortir de l’ombre. La société algérienne a beaucoup changé depuis un demi-siècle ; l’Église algérienne de 2019 n’est plus celle de 1962. Mais tout précaire que soit son avenir, elle reste, comme dit Jean Toussaint, « un laboratoire où s’est inventée [...] une façon d’être chrétien en situation totalement minoritaire ».

 

Jean-Robert Henry (https://www.iremam.cnrs.fr/node/35) est directeur de recherche honoraire au CNRS, associé à l’IREMAM (CNRS AMU) et Abderrahmane Moussaoui est professeur en anthropologie à l’Université Lyon 2.

 

 


Jeudi 2 mars 2023 à 18h00

Rencontre littéraire « Poésie innée et dite »

Ahmed Mebarki

 

Nous nous sommes suggérés à partir d’une illusion sonore, que nous pouvons appeler « Paréiodolie auditive », à « anatomiser », au sens vrai du terme, le vocable inédite en le rapportant à la poésie (au féminin singulier) ; nous y avons décelé deux autres adjectifs d’une ampleur insoupçonnable : « innée » et « dite ». La poésie inédite se vertèbre alors sous un intitulé subtil et révélateur : « La poésie innée et dite ». Ainsi, l’« alchimie poétique » s’opère et prend une tournure à la fois lyrique, esthétique, métaphysique voire mystique.

 

La poésie est par essence une cosmogonie à elle seule, mouvante et féconde dans la constance. Nous supposons qu’elle est innée dans l’absolu depuis que l’Homme parle et apprécie la dimension du sens des mots, non seulement, mais aussi leurs musicalités, leurs sonorités, leurs prosodies et leurs effets synesthésiques et émotionnels et même cathartiques.

 

Le vaisseau nourricier de cette genèse ou de cette nativité est révélée par le mot latin « nativus » (étymologie du terme inné), qui n’est autre que la parole poétique ensemençant l’intemporel. Ainsi, « La poésie innée et dite » traduit en filigrane : « Au commencement était la parole poétique ».

 

 


Jeudi 23 février 2023 à 18h00

Projection - débat

 

Le Hawfî. Chants et traditions des femmes de Tlemcen

Mourad Yelles

 

    

 

Mourad Yelles, a enseigné les littératures françaises et francophones à l’université d’Alger. Spécialiste de la tradition orale maghrébine, il a publié Le Hawfi. Poésie féminine et tradition orale au Maghreb (Alger, OPU, 1990) et Les Miroirs de Janus Littératures orales et écritures postcoloniales (Alger, OPU 2002), Les Fantômes de l’identité. Histoire culturelle et imaginaires algériens (Alger, ANEP, 2004) ainsi que de nombreuses études en anthropologie culturelle et en littérature comparée. Il est actuellement professeur des universités à l’INALCO en littératures maghrébines et comparées.

 


Jeudi 16 février 2023 à 18h00


L'écriture romanesque ou comment l’imaginaire conjure le réel pour un monde de valeurs

Ahmed Benzelikha

 

 

Ahmed Benzelikha, né à Constantine en 1967, linguiste et financier, spécialiste en communication, diplômé des universités de Constantine et de Montpellier, écrivain, journaliste, enseignant universitaire, cadre supérieur, membre de l'Unesco, conférencier et expert en digital, Ahmed Benzelikha est l'auteur de nombreux livres, dont plusieurs romans, aux thématiques diverses. Son dernier ouvrage est "Les Dupes", paru en 2021, défendant un monde de valeurs face à la déshumanisation